Le jeu vidéo est une source inépuisable de production d’outils et de contenus dont quiconque peut s’emparer à loisir. Pour les joueurs, il s’agit de s’adonner à la rédaction de fan fictions, au machinima, au modding ou au speedrun. Mais le jeu vidéo fait aussi l’objet de détournements par les artistes, qu’il s’agisse de faire du glitch art, de s’approprier un objet vidéoludique ou encore de concevoir des expérimentations (vidéo)ludiques, etc.
Afin d’évoquer les multiples champs de ces détournements artistiques du jeu vidéo, une table ronde réunira trois intervenantes : Fanny Barnabé, doctorante à Liège et dont la thèse porte sur les formes de détournement du jeu vidéo ; Raquel Meyers, qui élabore des expériences artistiques en mode texte à partir du Commodore 64 ; Tatiana Vilela, artiste numérique, spécialisée dans la conception d’expériences ludiques.
Entrée libre.