Jenny Ulrich a « pré-découvert » le cinéma fantastique toute petite, dans un grand livre : il y avait là des images fascinantes du Freaks de Tod Browning, de La mariée sanglante de Vicente Aranda, deL’abominable docteur Phibes de Robert Fuest, de La maison ensorcelée de Vernon Sewell, etc. Plus tard elle a eu l’occasion de voir ces films-ci et bien d’autres encore sur grand écran ou en VHS et y a définitivement pris goût. Au lycée, elle s’est associée à l’aventure Mad Ciné Club, participant ainsi dans la foulée à l’organisation des premières éditions de L’Étrange Festival de Strasbourg. Puis elle est passée du côté de ceux qui font à celui de ceux qui signalent et commentent : depuis 2007, entre autres collaborations (revue de cinéma Cut, radio RBS), elle alimente en textes, comptes-rendus de festivals et interviews la case ARTE Trash sur le site Internet de la chaîne.