Du Viol du vampire en 1968 au Masque de la méduse en 2009, Jean Rollin a dédié sa vie au cinéma fantastique. Influencé par les surréalistes, il a créé une oeuvre d’essence poétique et gothique, cohérente en dépit des obstacles.
Un bel hommage à un cinéaste qui ne fut pas reconnu de son vivant à la hauteur de ce qu’il a apporté d’unique à l’épouvante hexagonale.