ARCHIVES 2013
Compétition internationale fantastique
Octopus d’or
Kiss of the Damned
Méliès d’argent
Borgman
Mention spéciale du Jury
Dark Touch
Prix du public
Uma História de Amor e Fúria
Compétition courts-métrages
Octopus d’or
Yardbird
Méliès d’argent
No tiene Gracia
Mention spéciale du Jury
The Hunt
Prix du public
Yardbird
Prix du Jury Jeune
No tiene Gracia
Prix du meilleur court-métrage Made In France
The Things they Left Behind
Prix du meilleur court-métrage d’animation
Pryg-Skok
Indie Game Contest
Octopix du meilleur jeu indépendant complet
Element4l
Octopix du meilleur jeu vidéo indépendant work in progress
Pathogen
Ouverture / Clôture
We Are What We Are
Machete Kills
Compétition internationale fantastique
App
Bad Milo!
Big Bad Wolves
Borgman
Dark Touch
For Those in Peril
In Fear
Kiss of the Damned
Love Eternal
The Returned
The Station
Uma História de Amor e Fúria
Upstream Color
Compétition Crossovers
7 Boxes
Cheap Thrills
Graceland
Nos héros sont morts ce soir
Proxy
Tore Tanzt
Wrong Cops
Midnight Movies
The Battery
Big Ass Spider
Frankenstein's Army
Fresh Meat
Go Goa Gone
Tiktik: The Aswang Chronicles
V/H/S/2
Documentaires
Séances spéciales
All Cheerleaders Die
Static
Jeune public
Lettre à Momo
La sorcière dans les airs
Compétition internationale
And Death Will Be Alright
Délivre-moi
ESC
Intus
No tiene gracia
Proto
The Hunt
Yardbird
Compétition animation
L'art des Thanatier
La boîte de sardines
Initium
Linear
La nuit de l'Ours
Pryg-Skok
Vie et mort de l'illustre Grigori Efimovitch Raspoutine
Zombirama
Compétition Made in France
Douce nuit
Ecce Mulier
La femme qui flottait
Mecs Meufs
Rose or the Mute Liars
The Things they Left Behind
Zygomatiques
Monkey Business
La fascination de l’homme pour le singe n’est sans doute pas étrangère à la prolifération des films de gorilles géants et de singes psychotiques, au point qu’ils peuvent être catégorisés en un sous-genre bien distinct avec King Kong en mètre étalon. Les prémices de King Kong se retrouvent également dans des films tels que Stark Mad de Lloyd Bacon (1929) et surtout Le Monde perdu de Harry Hoyt (1925), déjà imprégné de l’univers de Willis O’Brien qui sera responsable des effets spéciaux de King Kong en 1933. C’est d’ailleurs de la rencontre d’un projet de Harry Hoyt et Willis O’Brien, intitulé Creation, et d’un projet de Merian C. Cooper sur l’histoire des gorilles produit par la RKO, que va naître ce classique du cinéma qui devait s’intituler The Beast, puis Kong et prendre finalement ce nom qui résonne comme deux coups de poing sur le thorax : King Kong. Tourné en pleine dépression économique, King Kong évoque pour les spectateurs d’hier et d’aujourd’hui une allégorie de la nature sauvage face aux effets néfastes de la « civilisation ».
Avec des suites, des remakes ou de pâles copies, King Kong a marqué à jamais l’histoire du cinéma. Pour célébrer ses 80 ans, nous vous proposons une rétrospective de 12 films sur le thème des singes, entièrement en copies 35 mm, retraçant une période de 70 ans de cinéma, du chef d’œuvre de Cooper et Schoedsack au dernier remake en date de Peter Jackson en passant par des productions de Hong-Kong, du Japon et d’Italie.
King Kong (1933)
Mighty Joe Young
Gorilla at Large
Konga
King Kong (1976)
The Mighty Peking Man
Yéti le géant d'un autre monde
King Kong contre Godzilla
King Kong Lives
Link
Monkey Shines
King Kong (2005)
El Santo (1917-1984)
Le Mexique et la lucha libre, c’est une histoire d’amour qui dure depuis plus de 70 ans, si forte qu’elle a conduit le célèbre écrivain mexicain Carlos Monsivais à étudier ce qui pousse les Mexicains à se rendre dans des arènes pour y encourager ou huer leurs héros ou leurs méchants. Parmi ces héros, Rodolfo Guzmán Huerta, plus connu sous le nom d’El Santo. Sa popularité était telle que la série de BD El Santo, lancée en 1952, a duré 35 ans. S’il n’a disposé que de moyens de production faibles par rapport à Hollywood, ses films n’en restaient pas moins des films d’exploitation extrêmement diver- tissants. Mégastar du catch mais aussi acteur idolâtré par les femmes, Santo avait trouvé la formule gagnante : des momies de Guanajuato à La Llorona («la pleureuse»), il a affronté une flopée d’ennemis surnaturels. Si la plupart étaient issus de la mythologie mexicaine, il s’est ensuite également attaqué aux Frankenstein, Dracula et autres loups-garous hollywoodiens.
C’est en 1961 que sa carrière cinématographique a décollé avec son troisième film, Superman contre les Zombies, suivi par plus de 50 autres de 1961 à 1982. Quatre d’entre eux sont diffusés régulièrement la nuit parmi les films séries B sur les chaînes américaines, tandis que l’un de ses meilleurs opus, Superman contre les femmes vampires, a été repris dans la série culte acclamée par la critique, Mystery Science Theatre 3000. A la fin des années 1970, son stock de monstres s’épuisant, Santo s’est retrouvé aux prises avec des Bruce Lee en herbe ou des méchants à la frontière avec les Etats-Unis. Mais, peu à peu, les films de catcheurs super héros ont entamé leur déclin et Santo s’est retiré du ring et du cinéma en 1982, à l’âge de 65 ans. Il est devenu un véritable héros populaire, dont la légende se perpétue grâce aux multiples hommages qui lui sont rendus aujourd’hui sous différentes formes : dessins animés, cinéma et catcheurs prenant modèle sur lui.
Santo vs. las mujeres vampiro
Santo el enmascardo de plata vs la invasión de los marcianos
El hombre detrás de la máscara
Centenaire Peter Cushing
Apportant son talent et son raffinement aux films d’horreur britanniques, Peter Cushing est surtout connu pour son interprétation des rôles du Baron Frankenstein, du Dr Van Helsing ou encore de Sherlock Holmes pour la Hammer. Pour célébrer le centenaire de la naissance de cet acteur emblématique qui a marqué de son empreinte les films d’horreur de son époque, nous présentons la version restaurée d’un film qui était devenu invisible, mais qui a récemment été retrouvé dans les archives de Sony Pictures.