1949. George Orwell termine ce qui sera son dernier mais plus important roman, 1984. Orwell : 2 + 2 = 5 plonge dans les derniers mois de la vie de Orwell et dans son œuvre visionnaire pour explorer les racines des concepts troublants qu’il a révélés au monde dans son chef-d’œuvre dystopique : la double pensée, le crime de pensée, la novlangue, le spectre omniprésent de Big Brother… des vérités sociopolitiques qui résonnent encore plus puissamment aujourd’hui.

En ces temps d’incertitude où les mécanismes autoritaires qualifiés d’orwelliens sont plus que jamais d’actualité, Raoul Peck apporte un éclairage plus que nécessaire à la compréhension de notre époque.

It’s 1949 and George Orwell has finished Nineteen Eighty-Four, which will be his last but most important novel. Orwell: 2 + 2 = 5 delves into the final months of his life and his visionary work to explore the roots of the disturbing concepts he revealed to the world in his dystopian masterpiece: doublethink, thoughtcrime, Newspeak, the ever-present spectre of Big Brother – socio-political truths that resonate even more powerfully today.

In these uncertain times, when authoritarian mechanisms described as Orwellian are more relevant than ever, Raoul Peck sheds much-needed light on the way we understand the world we are living in.